Sandra Jones, une bénévole du PEP, assistait à un cours gratuit de taï-chi au centre associatif de Lifeprint à Phoenix, en Arizona, lorsqu’elle s’est rendu compte que ce serait un « endroit super » pour présenter le Programme d’éducation pour la paix.
Elle a organisé un rendez-vous avec Nancy ZumBrunnen, la directrice du centre, et une autre bénévole, Deborah Slater, pour étudier la possibilité d’y mettre en place un cours du PEP. Grâce à la chaleureuse recommandation du bibliothécaire de Suncity, une ville d’Arizona réservée aux retraités où Deborah et Sandra avaient organisé un PEP, l’agrément ne s’est pas fait attendre.
Lifeprint, un réseau de médecins des comtés de Maricopa et Pinal de Phoenix, ouvre gratuitement son centre d’accueil aux patients qui ne sont pas inscrits à ce réseau pour leur « offrir un endroit où être actif physiquement, stimulé intellectuellement et socialement engagé. »
« Ils ont été formidables et très accueillants, raconte Deborah. Et Nancy nous a beaucoup soutenues. Ils ont fait des photocopies couleur de tous les cahiers d’exercice et des articles du PEP. »
« Quant à la réaction des participants, elle a été incroyable, confie Sandra. Une personne m’a particulièrement touchée. À la fin d’un cours, elle est venue me voir, la main sur le cœur, et m’a dit : ‘Mais pourquoi n’ai-je pas entendu parler de Prem avant ?’ »
Commentaires d’autres participants de ce PEP qui s’est achevé en décembre dernier :
« Je sais que le passé peut perturber, mais je ne savais pas que l’avenir pouvait le faire aussi et être vraiment écrasant. Ce programme m’aide à rester centré. »
« Quand on se sent bien, les gens sont différents avec vous. Avoir écouté ces mots m’amène à donner le meilleur de moi. »
« Prem ne résout pas nos problèmes à notre place. Il nous laisse faire. Il élève notre niveau de conscience pour qu’on puisse résoudre nos problèmes nous-mêmes. Quand il a parlé de force intérieure, c’était tellement puissant que je suis resté sans mots. »











